[Portrait] Malaury Boissier, chargée de développement international (Direction d’appui à la recherche et à l’innovation)
En quoi consiste votre métier ?
Après l’obtention de mon master en Études Européennes et Internationales, j’ai d’abord travaillé au sein de l’Université de Toulouse pour créer un programme visant à favoriser la mobilité international des étudiants. Ensuite, j’ai travaillé pendant deux ans au Congo-Brazzaville où j’ai effectué un Volontariat International en Administration (VIA) à l’Ambassade de France pour accompagner les étudiants congolais désireux de poursuivre leurs études en France.
Depuis 2020, je suis chargée de développement international à la Direction d’Appui à la Recherche et à l’Innovation et j’accompagne les chercheurs internationaux, les collaborations internationales recherche ainsi que les activités internationales de l’EUR IMPLANTEUS.

Quel est son lien avec la Recherche ?
En tant que chargée de développement international, je soutiens les activités de recherche d’Avignon Université en facilitant les collaborations scientifiques internationales, l’accueil des chercheurs et doctorants étrangers et la mise en place de conventions avec des universités partenaires. De plus, je contribue à la visibilité internationale de l’EUR Implanteus et aux recrutements d’étudiants internationaux.
Qu’est-ce que cela représente pour vous de travailler dans une université ?
Travailler dans une université, c’est évoluer dans un environnement dynamique où la transmission des savoirs et l’innovation sont au cœur des missions. Être en contact avec des étudiants, des doctorants et des chercheurs du monde entier rend mon travail stimulant et enrichissant. C’est aussi l’opportunité de participer à des projets porteurs de sens, qui favorisent la coopération et l’ouverture à l’international.
Quel conseil donneriez-vous aux personnes qui souhaitent travailler en soutien à la recherche ?
Je leur conseillerais d’être curieux afin de bien maitriser le fonctionnement de la recherche et de l’enseignement supérieur, en France et à l’international. La maîtrise de l’anglais est essentielle, tout comme la capacité à travailler en réseau avec des chercheurs et des institutions. Enfin, il faut être adaptable et savoir jongler entre des missions variées, car le soutien à la recherche est un domaine riche et en constante évolution.
Quel objet ou quelle image de votre activité vous illustre le mieux ?
L’objet qui illustre le mieux mon activité est un passeport : il symbolise les mobilités internationales que j’accompagne, les collaborations scientifiques que je soutiens et l’ouverture sur le monde qui est au cœur de mon métier.

La direction d’appui à la recherche et à l’innovation d’Avignon Université
Autour des deux grandes orientations de l’établissement, « Agrosciences, Environnement et santé » et « Culture, Patrimoine, Sociétés numériques », la Direction d’Appui à la Recherche et à l’Innovation (DARI) soutient les activités de recherche de ses 15 laboratoires.
Elle participe à la mise en œuvre et au pilotage opérationnel de la politique scientifique de l’Université aux côtés de la Vice-Présidente Recherche et de la Vice-Présidente déléguée au développement économique et à l’insertion professionnelle.
Elle accompagne les acteurs de la recherche (enseignants-chercheurs, chercheurs, structures fédératives de recherche, doctorants), dans leurs relations avec les différents partenaires du monde socio-économique.
Les portraits
Mis à jour le 5 mars 2025